Le nouveau départ. Chapter I

«I’m the one who was supposed to take care of everything. I’m the one who was supposed to make everything Okay for everybody. I used to pretend you didn’t exist. But I can’t. And now. now, I’m alone. And I deserve to be alone. I just don’t want you to hate me...»


Ces mots résonnaient dans la tête de Gaby en boucle. Comme une douce mélodie. Pas si douce. Une larme s’écroula le long de sa joue sans même qu’il puisse y faire quelque chose. La cacher. La tristesse. C’était un sentiment bien connu. Un sentiment qu’il avait toujours su dominer. Mais aujourd’hui, dans se taxi. Il n’en avait plus le courage. Pourquoi se cacher quand on n’a plus personne a trahir ? Il s’était garder de pleurer pour ne faire de peine a personne. Mai au fond, s’était-il au moins une seule fois soucier de lui? Non, jamais. Il avait toujours travaillé pour les autres, dealer pour les autres, existé pour les autres. Mais aujourd’hui, s’en était finis.

D'où venaient ces mots ? D’un mot de son père biologique. Qu’il avait reçut lors de son jugement avant de partir dans ce haras. Ah ce haras. Les larmes vinrent de nouveaux. mais il n’eut pas le temps de les laisser s’écouler car il était déjà arrivé a Rosebury. Il pris ses affaires dans le coffre du taxi, paya le chauffeur et s’avança dans l’allée principale. C’était lumineux, assez attirants a vrai dire. Il s’essuya de nouveaux les yeux au cas ou quelqu’un le surprendrais et respira un bon coup. Au pire il pourrais toujours dire qu’il venait de se réveiller. D'où les yeux embués.

Il continua d’avancé dans la cour, un sac a dos lancé sur l’épaule et une valise a roulette qu’il traînait derrière lui comme un fardeau. C’était un fardeau. Cette valise était ultra lourde. Tout le matos d’équitation, c’est que ça prends de la place. Normalement, sa selle et les autres trucs assez lourds devaient déjà avoir été déposé quelques part. Il les avaient expédiés du haras a la minute ou il se décida a partir. Comme un bon de garantie. Car ce matériel c’était tout ce qu’il avait. Laurent, son «père adoptif» les lui avais donné avant de mourir.

*C’est bien desert ici.. *